English language sources edit

A New York Times article on this subject was published in 2003. It will be useful as a source: http://www.nytimes.com/2003/09/06/books/not-moliere-ah-nothing-is-sacred.html - Cal Engime (talk) 09:00, 23 August 2012 (UTC)Reply

Clarification edit

'Turn of the century' - which? Jackiespeel (talk) 10:15, 25 March 2015 (UTC)Reply

Aux tenants de l explication officielle, comment interpréter la dissertation de D 'Aubignac les Stances a Molière de Boileau a propos de l École des femmes? edit

D'Aubignac explique à Corneille qu'il ne doit s'en prendre qu'à lui même de la dépendance envers les histrions où il s'est placé.

Vous êtes poète et poète de théâtre. Vous vous êtes abandonné à une vile dépendance envers les histrions" (...)

— d'Aubignac, Quatrième dissertation concernant le Poème dramatique, p118

Non, non, M. de Corneille, faites autant de comédies qu'il vous plaira, je n'en serai point jaloux et m'en divertirai toujours, mais je m' en reserverai le droit d'en juger selon que vous me plairez ou me déplairez.

Il y a bien de la différence entre un honnête homme qui fait des vers, et un poète à titre d'office; le premier s'occupe pour le divertissement de son esprit, et l 'autre travaille pour l' établissement de sa fortune; (...)

Il y a longtemps qu' Aristophane l'a dit, il se ronge de chagrin quand un seul poème occupe Paris durant plusieurs mois, et l'Ecole des maris et celle des femmes, sont les trophées de Miltiades qui empechent Themistocle de dormir.

Nous en avons su quelque chose, et les vers que M. des Préaux a fait sur la dernière pièce de M. Molière, nous en ont assez appris.

Corrigez vous donc, M. de Corneille de cet ennui, et ne l'imputez pas à ceux qui n'ont jamais pensé par raison, ni par intérêt, de s'opposer à votre qualité ni à vos prétentions; la gloire que vous aurez d'être un bon poète ne m'ôte rien, le mépris qu'on pourrait faire de vos œuvres, ne me donne rien, vos richesses ne m'appauvrirons pas et votre pauvreté ne m'enrichirait pas.

Il faudrait avoir perdu le sens aussi bien que vous pour être en mauvaise humeur du gain que vous pouvez tirer de vos veilles et de vos empressements auprès des Histrions et des Libraires."

— d'Aubignac, Quatrième dissertation concernant le Poème dramatique, p119-120

Les vers de M. des Préaux ( Boileau) dont il est question plus haut paraissent dans Les Délices de la Poésie galante et sont les suivants:

(...) Que tu ris agréablement !

Que tu badines savamment ! Celui qui sut vaincre Numance, Qui mit Carthage sous sa loi, Jadis sous le nom de Térence, Sut-il mieux badiner que toi ?

— Boileau, Stances sur l École des Femmes 1663

On attribue a tort où a raison au vainqueur de Numance Scipion Emilien la paternité des oeuvres de Terence. Pour les lettrés du XVIIe siècle, Térence n’était pas l’auteur des pièces jouées sous son nom. Georges Couton est catégorique : « On estimait au XVIIe siècle qu’il [Térence] n’était que le prête-nom, ou du moins le collaborateur, de Scipion Emilien et de Laelius. » [1] Jbpoq (talk) 21:23, 19 April 2020 (UTC)Reply

References

  1. ^ Georges Couton, Molière, Œuvres complètes, 1971, T. I, p. 1555)

From the point of view of official theory, Molière as a writer, how to interpret the essay by D 'Aubignac and les Stances a Molière de Boileau about the School of Women? edit

D'Aubignac explained to Corneille in his dissertation that he should only blame himself for the dependency on the histrions where he has placed himself.

You are a poet and a theater poet. You have surrendered to a vile dependency on the histrions " (...)

— d'Aubignac, Fourth dissertation concerning the Tragedy, p118

No, no, M. de Corneille, make as many comedies as you like, I will not be jealous of them and will always be entertained by them, but I will reserve the right to judge as you please or displease me.

There is much difference between an honest man who writes verses, and a mercenary poet; the first is occupied for the entertainment of his mind, and the other works for the establishment of his fortune; (...)

A long time ago Aristophanes said ,it is taken with sorrow when only one poem occupies Paris during several months, and the "School of the husbands and that of the women", are the trophies of Miltiades which prevent Themistocle from sleeping.

We have known something about it, and the verses that Mr. des Préaux wrote on Mr. Molière's last play have taught us enough.

Correct yourself therefore, M. de Corneille for this anger, and do not attribute it to those who have never thought, for reason or interest, to oppose your quality or your claims; the glory that you will have of being a good poet does not deprive me of anything, the contempt that could be made of your works, does not give me anything, your wealth will not impoverish me and your poverty will not enrich me.

You would have to have lost your sense as well as yourself to be in a bad mood for getting the gain that you can get from your waking hours and your eagerness with Histrions and Censors. "

— d'Aubignac, Fourth essay on the dramatic poem, p119-120
The verses of M. des Préaux (Boileau) mentioned above appeared in  Les Délices de la Poésie galante  and are as follows:

(...) That you laugh pleasantly!

That you are kidding! He who knew how to defeat Numance, Who put Carthage under his law, Formerly under the name of Terence, Can he joke better than you?

— Boileau, Stances on the School of Women 1663
The winner of Numance Scipio Emilien is wrongly or rightly attributed  the authorship of Terence's works.
For 17th century scholars, Terence was not the author of the plays performed under his name.  Georges Couton is categorical: "It was estimated in the 17th century that he [Térence] was only the nominee, or at least the collaborator, of Scipio Emilien and Laelius.  »[1]  Jbpoq ( talk) 21:23, 19 April 2020 (UTC) Jbpoq (talk) 23:49, 20 April 2020 (UTC)Reply

References

  1. ^ Georges Couton, Molière, Complete Works, 1971, T. I, p. 1555)