Maktar and Mididi inscriptions

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The Maktar and Mididi inscriptions are a number of Punic language inscriptions, found in the 1890s at Maktar and Mididi, Tunisia. A number of the most notable inscriptions have been collected in Kanaanäische und Aramäische Inschriften, and are known as are known as KAI 145-158.

Maktar inscriptions
The Grand Dedicatory Inscription, in ten parts (KAI 145)
WritingPunic
Discovered1892

More than 150 such inscriptions were known by the end of the 19th century.[1]

Temple of Hathor Miskar

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Second Dedicatory Inscription (KAI 146)
 
Votive inscription (KAI 147)

A number of inscriptions were found in 1892 during excavation of the Temple of Hathor Miskar.

They were first published by Philippe Berger in 1901,[2] and are known as KAI 145-147.

Ain Bab

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KAI 152 (also NE 436,11)

In 1901 Paul Gauckler sent to the Comité des travaux historiques et scientifiques stampings of 6 monuments found in Maktar, from the Punico-Roman cemetery next to the Aïn-el-Bab gate.[3] These are known as KAI 148-153 and RES 161-166.

Mididi

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In 1901, René Basset sent to the Comité des travaux historiques et scientifiques stampings of 18 monuments and inscriptions found in the excavation of Mididi, of which 14 were neo-punic funerary inscriptions.[4] These are known as KAI 154-158 and RES 167-180.

Bibliography

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An inscription in the Maktar museum

Temple of Hathor Miskar inscriptions

Ain Bab and Mididi

References

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  1. ^ Les Inscriptions de Constantine au Musee de Louvre par Philippe Berger, Actes du onzième congrès international des Orientalistes. Paris, 1897. Section 4 Congrès international des orientalistes, 1897, p.273 onwards: "Telle qu'elle est, la collection des inscriptions de Constantine, qui ne comprend pas moins de 150 numéros, forme, après Carthage et Maktar, la série la plus complète des inscriptions phéniciennes d'Afrique."
  2. ^ Berger Philippe. Mémoire sur la grande inscription dédicatoire et sur plusieurs autres inscriptions néo-puniques du temple d'Hathor-Miskar à Maktar. In: Mémoires de l'Institut national de France, tome 36, 2e partie, 1901. pp. 135-178. DOI : https://doi.org/10.3406/minf.1901.1576
  3. ^ Bulletin archéologique du Comité des travaux historiques et scientifiques, 1901: p.324-327: "M. Gauckler a adressé à la Commission du Nord de l'Afrique les estampages de deux inscriptions néo-puniques trouvées à Maktar par M. de Monchicourt. Elles proviennent du cimetière punico-romain, voisin de la porte d Aïn-el-Bab. Ces inscriptions, écrites avec les mêmes caractères que les autres inscriptions de Maktar, étaient accompagnées chacune d'un bas-relief; celui qui surmontait le texte no 1 a disparu avec le sommet de la pierre, il ne reste plus que les pieds du mort; au-dessus du texte no 2, on voit le portrait de la défunte vêtue d'une longue tunique; elle est figurée debout, le bras gauche abaissé, le bras droit ramené sur la poitrine et tenant une grenade... Plus récemment encore, M. Gauckler a communique' à la Commission quatre nouvelles inscriptions de même provenance... Enfin M. Gauckler a également envoyé l'estampage d'un ex-voto à Tanit, trouvé dans le jardin de S. A. le prince Mohammed-Bey à Tunis (Dermech) et transporté par ses soins au Musée du Bardo. "
  4. ^ Bulletin archéologique du Comité des travaux historiques et scientifiques, 1901: p.327: "M. le général Basset, de son côté, a fait parvenir à la Commission une série de 18 estampages de monuments ou d'inscriptions néo-puniques relevés par M. le lieutenant Rouget des brigades topographiques, à Henchir-Meded; un de ces monuments (no 10) porte des caractères qui me paraissent ne pas être puniques; trois (no 16-18) sont anépigraphes; les autres sont des inscriptions funéraires de basse époque. M. le lieutenant Rouget a fait ces estampages avec un soin extrême, qui en facilite beaucoup le déchiffrement. En dehors des particularités dans les formules ou dans l'orthographe que l'on trouvera relevées plus bas, il faut signaler l'intérêt des représentations figurées, qui par certains traits rappellent celles que l'on trouve sur les stèles de Maktar. La chose est d'autant plus naturelle que Mididi était éloignée de quelques milles à peine de Maktar et que j'ai moi-même retrouvé sur l'une des stèles de Maktar un personnage qui porte l'ethnique de Mediti, c'est-à-dire habitant de Mididi."